1 ’un match sont sportifs. Seul, le petit bureau où Jean Paulhan dirigeait et faisait la NRF constituait un lieu propice aux surpris

2 à Pontigny, je trouve une assez longue lettre de Jean Paulhan  : Croyez-vous qu’il soit prudent, ingénieux ou sage de se mettre à

3 c’est le droit d’appartenir à plus d’un club. ⁂ Jean Paulhan de retour le 6 octobre, et les textes devant être remis le 1er novemb

4 mone Weil, Teilhard de Chardin, Saint-John Perse, Jean Paulhan , André Breton, Paul Morand, Jean Giono, André Malraux et le jeune chr

5 aux soins conjugués de Bernard Groethuysen et de Jean Paulhan . 80. En 1931. 81. « Je ne songe pas ici — écrit Kassner — au journa

6 aux soins conjugués de Bernard Groethuysen et de Jean Paulhan . 82. « Je ne songe pas ici — écrit Kassner — au journaliste anonyme,

7 Jean Paulhan (19-20 octobre 1968)ad Un jour que je montai chez Jean Paulhan, ce

8 -20 octobre 1968)ad Un jour que je montai chez Jean Paulhan , ce devait être en 1937, 1938, je rejoignis dans l’escalier de la NR

9 que j’écris « un œil sur l’Éternel et l’autre sur Jean Paulhan  ». Ce qui m’engage à rapporter ces petits souvenirs, c’est qu’ils son

10 t faux » qui seul intéressera, croit-elle. ad. «  Jean Paulhan  », Gazette de Lausanne (supplément littéraire), Lausanne, n° 245, 19-

11 nt écrit un œil fixé sur l’Éternel et l’autre sur Jean Paulhan . » N’est-ce pas assez juste, et pas seulement du Rougemont des années

12 our le numéro de décembre 1932 de la NRF . C’est Jean Paulhan qui m’avait proposé ce « Cahier », à la suite d’un petit article paru

13 sser ce seuil, je me ferai honte. » Malices de Jean Paulhan Il est vrai que « le bureau de Paulhan » était un lieu sacré de m